Sous la lueur d’une lune teintée de rouge, la ville de Blackhaven se trouve plongée dans une obscurité anormale. Une fête foraine éphémère, « Le Cirque des Carnassiers », s’est érigée sur la place centrale. Les lumières vacillantes des manèges illuminent des silhouettes déformées qui semblent se mouvoir dans l’ombre.
Le parfum alléchant de barbe à papa se mêle à une atmosphère sinistre, préfigurant une nuit de terreur incommensurable.
Un groupe de jeunes insouciants, attirés par la promesse de plaisirs interdits et d’excitations morbides, décide de s’aventurer dans ce cirque mystérieux. Dès leur entrée, ils sont accueillis par des forains aux sourires déformés et des rires dissonants. Les attractions prennent une tournure cauchemardesque, plongeant les visiteurs dans des réalités déformées où les lois de la physique et de la logique ne s’appliquent plus.
Alors que le groupe explore les recoins obscurs du cirque, ils découvrent un spectacle d’horreur au-delà de leur imagination. Des créatures difformes, mi-humaines mi-monstrueuses, dévorent les âmes des visiteurs capturés dans une danse macabre.
Les membres du groupe réalisent qu’ils sont devenus les proies de cette nuit sans fin, traqués par des êtres aux yeux brillant d’une lueur dévorante.
Le groupe se retrouve pris au piège dans une spirale de terreur, chaque attraction se transformant en un cauchemar grotesque.
Les forains, révélés être des êtres démoniaques, se nourrissent de l’agonie de leurs victimes. Certains membres du groupe succombent aux dévoreurs d’âmes, devenant des coquilles vides errant dans l’obscurité.
Au cœur du cirque, les survivants découvrent un autel sacrificiel où les âmes sont récoltées pour alimenter une entité démoniaque. Une bataille désespérée s’ensuit, mêlant les cris de terreur aux rugissements des dévoreurs d’âmes.
Le groupe, désormais diminué, réussit à sceller l’entité démoniaque, provoquant la dissolution chaotique du cirque maudit.
Blackhaven retrouve une apparence de normalité, mais la mémoire de cette nuit reste gravée dans les esprits des survivants, hantée par les ombres des dévoreurs d’âmes.
La ville, désormais dépourvue du cirque infernal, reste teintée d’une aura de malédiction, rappelant que dans l’obscurité, les appétits dévorants peuvent surgir de l’ombre la plus profonde.